Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

josiane balasko - Page 2

  • Les bronzés font du ski

    star 05.jpg

    aff.jpg

    Après des vacances idylliques au Club Med, c’est désormais à la montagne que Gigi, Nathalie, Christiane, Jérôme, Bernard, Jean-Claude & Popeye (Marie-Anne Chazel, Josiane Balasko, Dominique Lavanant, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Michel Blanc & Thierry Lhermitte) ont décidé de se réunir. Au programme : descente des pistes, fondue entre potes d’enfance ou encore une excursion inoubliable. Si des couples se sont formés, Popeye traverse quelques difficultés avec sa femme mais ça il vous l’expliquera mieux que moi quant à Jean-Claude il est à deux doigts de conclure ce qui ne l’empêche pas de tenter sa chance avec tout ce qui se présente. Après tout sur un malentendu, ça peut marcher !

    01.jpg 02.jpg 03.jpg

    Au spectateur il suffira d’entendre les premières mesures du célèbre générique de Pierre Bachelet pour s’imaginer descendre les pistes de ski, travailler son planter de baton ou encore déguster un bon vin chaud ! Dans la foulée de leurs pitreries au Sénégal, on retrouve avec bonheur toute la troupe du Splendid aux sports d’hiver et on a droit à une énorme avalanche de fous rires.  La suite est un exercice périlleux d’autant plus quand il s’agit d’une comédie mais Les bronzés font du ski relève avec brio le défi voire même le surpasse. On adore le couple sans gêne Nathalie / Bernard, les leçons de séduction de Jean Claude Dusse sans oublier le pauvre Bruno qui s’en prend plein la tronche. Parce qu’on ne se lassera jamais de le revoir et qu’on connait toutes les répliques par cœur, un film qui nous survivra.

     

    La scène à ne pas louper : La dégustation de la Foune à l’étalée et de la liqueur d’échalote !


    En savoir plus sur Les bronzés ?

    En savoir plus sur Les bronzés 3 - Amis pour la vie ?


    Découvre la réplique culte de Bernard & Jean-Claude !!

    Découvre la réplique culte de Jean-Claude Dusse !!

    Découvre la 2ème réplique culte de Jean-Claude Dusse !!

    Découvre la 3ème réplique culte de Jean-Claude Dusse !!

    Découvre la réplique culte de Jean-Claude & Popeye !!

  • Beur sur la ville

    aff.jpg

    Villeneuve-sous-bois dans le 9-9. Alors que le préfet Flaubert (Roland Giraud) vient célébrer la nouvelle promotion de Lieutenants de police des Basses-Seines, il est interpellé sur le fait que parmi ces officiers aucuns ne soient réellement issus de ce qu’on appelle des minorités visibles. Il charge alors Picolini (François-Xavier Demaison) de régler cette affaire et celui-ci va se faire un plaisir de dénicher l’homme le plus incompétent au monde : Khalid Belkacem (Booder). Pour ne pas faire les choses à moitié, on confie à ce nouveau lieutenant de police une affaire sordides de meurtres qu’il va devoir résoudre. C’est la débâcle assurée pense-t-on d’autant que Khalid ne se sent pas très à l’aise dans ses nouvelles fonctions mais il n’est pas au bout de ses surprises.

    01.jpg

    Pour moi, le cinéma de Djamel Bensalah est proche de celui d’un Fabien Onteniente ; les 2 réalisateurs sont là pour nous faire rire et ils connaissent les ficelles de la comédie sur le bout des doigts. La seule chose c’est qu’ils peinent réellement à se renouveler mais tant que le succès est au rendez-vous, pourquoi changer ? Par son physique atypique, notre pote Booder se voit offrir le premier rôle de Beur sur la ville mais ça tire plus sur le one-man show qu’autre chose assisté par un parterre de guest-stars (Jean-Claude Van Damme, Frédéric Beigbeider, Ramzy Bedia, Popeck, Gérard Jugnot …). Une comédie trop poussive à l’image d’un scénario qu’on aurait apprécié plus simplifié et rarement drôle, ça se laisse voir mais peut-être pas sur le grand écran.

     

    Il faut le voir pour : Eviter les pressings indiens.

  • Un heureux évènement

    aff.jpg

    C’est en louant des films que notre pote Barbara (Louise Bourgouin) a rencontré Nicolas (Pio Marmaï) et le coup de foudre fut immédiat. Devenus totalement inséparables, le couple filait le parfait bonheur et un jour ils se sont sentis prêts à former une famille. Vint alors le moment où Barbara pouvait annoncer qu’elle attendait un enfant ; 9 mois de bonheur mais quand même 9 mois sans clopes, alcool, charcuterie ou fromages ! Déjà que la grossesse va être difficile à supporter, il ne faudrait pas non plus qu’elle ait sa mère Claire (Josiane Balasko) sur le dos mais celle-ci va vite découvrir son secret à son grand regret. Et puis quand leur enfant voit le jour, Barbara & Nicolas se rendent compte qu’on ne s’improvise pas parents et que leur relation va être soumise à de nombreuses tensions.

    01.jpg

    Ce qui est sur c’est que tout le monde ne va pas se sentir concerné par le dernier film de Rémi Bezançon puisqu’il s’attarde sur un moment magique de la vie d’une femme ; la grossesse et la naissance d’un enfant. De ce postulat de départ, le réalisateur aurait pu se contenter de dresser une gentille comédie tout ce qu’il y a de plus simple mais il choisit au contraire de traiter le sujet avec une extrême authenticité. Du bonheur d’être enceinte au fameux baby blues, il n’y a qu’un pas et c’est Louise Bourgoin, qui a largement gagné ses galons de comédienne, qui en fait l’amère expérience formant avec Pio Marmaï un couple parfait. Certaines mères se reconnaitront dans ce portrait, pour les autres c’est l’occasion de découvrir tout autrement ce que l’on considérait alors comme Un heureux évènement.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter les sites de rencontres et aller louer un film !

  • Thérèse & Pierre - Le père noël est une ordure

    03.jpg02.jpgPierre : Ohhh une serpillière, comme c'est original !


    Thérèse : Euh, nan, Pierre, c'est un gilet...


    Pierre : Ah oui, il y a des trous encore plus grands pour passer les bras ! Je me disais justement ce matin : je n'ai rien pour descendre les poubelles !

  • Holiday

    aff.jpg

    Un week-end en amoureux dans un magnifique château, voilà un beau programme pour notre pote Michel Trémois (Jean-Pierre Darroussin) et sa femme Nadine (Judith Godrèche) mais il était loin de s’imaginer que ce séjour serait aussi animé. Tout d’abord, il doit se coltiner sa belle-mère Christiane (Josiane Balasko) pas vraiment dans son assiette et puis cet hôtel est en plein travaux ce qui cause quelques désagréments. Le pire reste à venir ; après une soirée particulièrement arrosée, Michel est réveillé en trombe par un policier. Une femme a été retrouvée pendue au lustre de sa chambre et tout porte à croire que Michel aurait été la dernière personne à l’avoir vu.

    01.jpg

    La bande-annonce nous donnait à croire qu’il s’agissait d’un petit thriller policier façon enquête à la Agatha Christie. Un meurtre se dévoile, une dizaine de suspects se révèle et la vérité finit par éclater. En théorie, voilà ce qu’aurait du être Holiday au lieu de quoi Guillaume Nicloux en a fait une bouillie indigeste. Il faut déjà avoir l’esprit ouvert pour ne pas s’offusquer devant une galerie de personnages complètement hors-norme ; ça aurait pu être un bon délire mais à aucun moment on entre dans l’ambiance du film. Une comédie qui patauge pendant plus d’1H30 et le seul moment qu’on apprécie c’est au moment où le générique de fin apparait !

     

    Il faut le voir pour : Se convaincre de l’importance de se brosser les dents quotidiennement.

  • Le hérisson

    aff.jpg

    La petite Paloma (Garance Le Guillermic) vit dans un immeuble parisien ; elle ne manque de rien mais du haut de ses 11 ans, elle se pose pas mal de questions sur son existence. Entourée d’une mère au bord de la dépression et d’un père obnubilé par son travail, la vie lui parait telle une prison dont les murs se resserrent au fil du temps. Lassée par cette vie, elle a comme projet insensé de se suicider après son prochain anniversaire mais l’arrivée du nouveau propriétaire de l’immeuble Kakuro Ozu (Togo Ikawa) va changer les choses.

    01.jpg

    C’est en découvrant le roman L’élégance du hérisson de Muriel Barbery que Mona Achache s’est lancée dans l’aventure de sa première réalisation. Dès les premières minutes le ton est donné, une fille à peine entrée dans l’âge de l’adolescence annonce son suicide ça ne respire donc pas la grande joie. Pourtant, le destin de la petite fille apparait vite secondaire face à Josiane Balasko méconnaissable dans la peau de cette concierge parisienne. On ne peut pas dire que Le hérisson soit très brillant, c’est monotone et comme le poisson rouge dans son bocal, on tourne en rond !

     

    Il faut le voir pour : Installer des toilettes à la japonaise chez vous !

  • Cliente

    Bonjour, je suis Judith (Nathalie Baye).

    aff.jpg

    01.jpgÇa a commencé quelques temps après mon divorce, 4ans exactement. Une séparation que j’ai eu beaucoup de mal à accepter. Je surfais sur le net et je suis tombé sur un site d’escort, c’est facile ; vous avez une photo, leurs activités et leurs loisirs il suffit juste de faire son choix.

     

    Mon premier s’appelait Lucas, le même prénom que mon ex-mari depuis une à deux fois par mois je vois quelqu’un pour mon simple plaisir. Le prince charmant ? Ma sœur Irène (Josiane Balasko) n’arrête pas de m’en parler mais je me suis fait une raison. Il doit exister au même titre que les hommes verts de Mars.

     

    02.jpgActuellement je fréquente Patrick (Eric Caravaca), très bel homme mais c’est bien la première fois que j’en revois un de manière si régulière.

     

     

     

    En savoir plus sur Cliente ?

  • Cliente

    aff.jpg

    Ne parlez jamais du grand amour à Judith (Nathalie Baye) car elle vous rirait au nez ! Cette quinquagénaire ne croit plus au prince charmant depuis son divorce et quelques temps après elle a découverte l’escort. Avec Internet et en quelques clics, elle peut trouver l’homme qu’il lui faut et quand elle le souhaite ; son dernier choix s’appelle d’ailleurs Patrick (Eric Caravaca). Contre quelques centaines d’euros, elle obtient ce qu’elle veut sans les complications d’un couple et c’est très bien comme ça. Pourtant, ses relations avec Patrick deviennent de plus en plus fréquentes jusqu’à mettre en péril la vie privée du jeune homme.

    01.jpg

    Ce n’est pas tous les jours que le cinéma s’intéresse à la vie sexuelle des femmes et c’est sans tabous que Josiane Balasko s’y colle. Nathalie Baye y incarne une femme qui ne croit plus aux illusions de l’amour après une énorme déception et qui préfère se rassurer à coups de billets. Au départ c’est plutôt sympa, on découvre cette relation atypique ainsi que le quotidien des deux intéressés notamment la vie de présentatrice de télé achat de Judith. Après ça se gâte un peu, le triangle Baye/Caravaca/Carré se forme et là il ne se passe plus grand-chose si ce n’est des pleurs et des regrets.


    Il faut le voir pour : Apprendre que les indiens ne font pas Hugh !


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • L’auberge rouge

    6d1ac280249ecb5388cf20195a4fdb11.jpg

    Cela fait déjà quelques années que Rose & Martin (Josiane Balasko & Christian Clavier) s’occupent de l’auberge du crouteux. Peu de voyageurs viennent y trouver le repos et pour continuer à vivre, une idée morbide leur a traversé l’esprit ; assassiner leurs clients puis les dépouiller de toutes leurs richesses. Leur fille Mathilde (Juliette Lamboley) est de retour au foyer et en bonne compagnie puisqu’elle est accompagnée de tout un groupe, voilà une occasion unique de s’enrichir rapidement d’autant plus que Martin apprend que son auberge est condamnée à dépérir. En effet, une route est en construction ce qui détournera tous les voyageurs de l’auberge ce qui ne va pas arranger leurs affaires.

    0a4e20495cd3d8f36ab24672d434336c.jpg

    A la base, L’auberge rouge est un film de Claude Autant-Lara sorti dans les années 1950 avec Fernandel s’inspirant d’un fait divers. Comédie noire remis au gout du jour avec le trio des bronzés Josiane Balasko/ Gérard Jugnot / Christian Clavier ; on ne peut pas dire que le réalisateur Gérard Krawczyk ait été vraiment inspiré. L’humour situé au ras des pâquerettes condamne un film qui ne brille sur aucun point et qui sera vite oublié mais qui marque toutefois les retrouvailles du duo Gérard Jugnot / Jean-Baptiste Maunier depuis le succès du film Les choristes.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus manger de porc.

  • Les Bronzés 3 amis pour la vie

     

    Quand une bande de copains qui se sont connus il y a plus de 30 ans décident de passer les vacances ensemble, cela ne peut-être synonyme que de bonne humeur ! Enfin, ce n’est pas si sur ! Pourtant, au Prunus Resort tout est réuni pour accueillir Jérôme, Nathalie, Bernard, Gigi & Jean Claude (Christian Clavier, Josiane Balasko, Gérard Jugnot, Marie-Anne Chazel & Michel Blanc) pour de nouvelles aventures mais Robert (Thierry Lhermitte) va vite comprendre qu’il n’est pas au bout de ses peines.

    27 ans après leurs aventures au ski, les Bronzés nous reviennent mais est-ce bien pour notre plus grand bonheur ? A chaud, cette séquelle est plus que décevante car on ne retrouve pas l’esprit qui avait su nous séduire à l’époque. Des choix scénaristiques étranges, des personnages parfois dénaturés ; autant de choses qui font des Bronzés 3 une belle désillusion !